15 juin 2008
posted by Efera N'Seka @ 09:17  
27 avril 2008





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23 avril 2008
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21 avril 2008
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14 avril 2008
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11 mars 2008
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01 mars 2008
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23 février 2008
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21 février 2008
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01 février 2008
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28 juillet 2007





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27 juillet 2007
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25 juillet 2007
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24 juillet 2007
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23 juillet 2007
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11 mai 2007


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10 mai 2007
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06 mai 2007
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08 novembre 2006
Vis ma vie #2 - Karl Marx
Après son Abitur, dispensé de service militaire pour insuffisance pulmonaire, il s’inscrit en 1835 à l’université de Bonn, l’année où Ludwig Gall publie à Trèves un pamphlet dans lequel il écrit : « Les classes privilégiées et les classes laborieuses, profondément séparées par des intérêts diamétralement opposés, se dressent l’une contre l’autre ; la situation des unes s’améliore dans la mesure où la situation des autres devient plus pauvre, plus précaire, plus misérable. » Les études universitaires sont agrémentées par des beuveries nocturnes, l’excitation des duels et la participation active au « club des poètes ». Il préfère toutefois se rendre, dès l’année suivante, à Berlin. Étudiant en droit jusqu’en 1839 (…) il consacre déjà beaucoup de temps à ses lectures philosophiques et historiques (traduction personnelle de la rhétorique d’Aristote, lecture de Spinoza, Leibniz, Bacon, Hume, Kant, et de nombreux autres, à 19 ans !). Dans une lettre à son père de novembre 1837, il reconnaît avoir été d’abord tenté par la poésie jusqu’au moment où il comprit que ses vers lyriques n’étaient que du « verbiage ». La question se pose ici de savoir si l’influence du romantisme sur le jeune Marx se retrouvera plus tard dans sa critique d’une société déshumanisante. Cette renonciation à toute ambition littéraire, après la rédaction d’un roman médiocre, Scorpion et Félix, le plongea dans un état dépressif dont il sortit grâce à un peu de repos pris à la campagne et… à la lecture des œuvres complètes de Hegel ! (extrait de Introduction à Marx, Pascal Combenale, 2006)
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07 novembre 2006
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06 novembre 2006
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05 novembre 2006
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04 novembre 2006
autonomie partielle

























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01 novembre 2006
sable
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31 octobre 2006
autoportrait partiel #3




















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30 octobre 2006












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REPRISE



















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04 octobre 2006
Grève prolongée
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25 septembre 2006
intermède #5 - bord de maire


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14 septembre 2006
intermède #4 - bon anniversaire
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13 septembre 2006
intermède #3
posted by Efera N'Seka @ 23:05  
11 septembre 2006
intermède #2 - Vis ma vie #1 - Friedrich Nietzsche
Portrait de l’homme. La mesquine salle à manger d’une pension à six francs par jour, dans un hôtel des Alpes ou sur le rivage de la Ligurie. Des hôtes indifférents, le plus souvent de vieilles dames occupées à bavarder. La cloche a sonné trois coups pour appeler les gens à table. Sur le seuil passe, les épaules affaissées, une silhouette incertaine, légèrement voûtée : comme s’il sortait d’une caverne, Nietzsche, qui est « aveugle au six septièmes », entre toujours d’un pal mal assuré dans un logis étranger. Il porte un costume sombre, soigneusement brossé ; la face est également sombre, avec les cheveux broussailleux, bruns, ondulés. Sombres sont aussi les yeux derrière les épaisses lunettes de malade, extraordinairement bombées. Doucement et même timidement, il s’approche, enveloppé d’un mutisme anormal. On sent là un homme vivant dans l’ombre, au-delà de toute société et de toute conversation, craignant tout bruit avec une anxiété presque neurasthénique : poliment, avec une courtoisie pleine de distinction, il salue les autres et poliment, avec une aimable indifférence, les autres rendent son salut au professeur allemand. Avec la précaution d’un myope, il s’avance vers la table ; avec la précaution d’un homme à l’estomac sensible, il examine tous les plats, pour voir, par exemple, si le thé n’est pas trop fort, si les mets ne sont pas trop épicés, car les erreurs de nourriture irritent ses intestins fragiles et toute faute commise dans son alimentation bouleverse des journées entières ses nerfs frémissants. Pas un verre de vin, pas un verre de bière, pas d’alcool, pas de café devant lui, pas de cigare, pas de cigarette après le repas ; rien de ce qui stimule, rafraîchit ou détend ; seul un repas bref et maigre, et une petite conversation urbaine, superficielles, à voix basse avec un voisin d’occasion – il parle comme un homme qui en a perdu l’habitude depuis des années et qui redoute qu’on ne lui pose trop de questions. Puis il remonte dans sa petite chambre garnie, étroite, mesquine, froidement meublée, la table pleine d’innombrables feuilles, notes, écrits et épreuves ; mais pas une fleur, pas un ornement, à peine un livre et rarement une lettre. Là-bas, dans le coin, une lourde et grosse malle de bois, son unique avoir, avec ses deux chemises et un costume de rechange ( à part cela, rien que des livres et des manuscrits). Sur une étagère, d’innombrables bouteilles, flacons et mixtures : contre les maux de tête qui, pendant des heures, le rendent fou, contre les crampes d’estomac, les vomissements spasmodiques, la paresses intestinale et, surtout, les terribles médicaments contre l’insomnie – chloral et véronal. Un épouvantable arsenal de poisons et de drogues – les seuls secours qu’il ait dans ce silence vide de chambre étrangères, où il ne trouve d’autre repos qu’un court sommeil obtenu artificiellement. » (extrait de Nietzsche de Stefan Zweig, 1930)
posted by Efera N'Seka @ 23:35  
02 septembre 2006
intermède
posted by Efera N'Seka @ 13:22  
08 août 2006
Grève jusqu'en octobre

posted by Efera N'Seka @ 16:28  
01 août 2006
posted by Efera N'Seka @ 14:51  
25 juillet 2006
autoportrait partiel
posted by Efera N'Seka @ 08:00  
22 juillet 2006
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14 juillet 2006
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10 juillet 2006
posted by Efera N'Seka @ 22:55  
28 juin 2006


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22 juin 2006
posted by Efera N'Seka @ 21:22  
21 juin 2006
posted by Efera N'Seka @ 23:57  
16 juin 2006
posted by Efera N'Seka @ 20:55  
12 juin 2006
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11 juin 2006

posted by Efera N'Seka @ 23:38  
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